La perfection n’est pas de ce monde me direz-vous, hé bien détrompez-vous car me voilà! Ma phrase fétiche a toujours été : « tout est une question de perception ». Avec cette façon d’approcher la vie je vous assure que vous pourrez passez à travers bien des épreuves. Pourquoi cette introduction? Et bien c’est que je ne crois plus au hasard, et je dois vous en partager la raison. Mais gare à vous, car le sujet, je vous le promets, n’est pas très glamour.
Alors lançons-nous, ou plutôt mouillons-nous car vous risquez au passage de verser quelques larmes. La table est mise, il ne sera donc pas question de notre mini baby-boom québécois ou du spectacle de Céline Dion lors du 400e à Québec mais bien de quelque chose qui nous uni tous, et cela, malgré toutes nos différences. Et je vous parle ici de l’expérience inévitable dans une vie ; la Mort avec un grand « M ». Évidemment je ne disserterai pas sur la mienne, car une femme parfaite s’exprime toujours en connaissance de cause. Non, c’est que la mère, source de toute cette perfection s’en est allée voilà une semaine.
J’avais écrit les 2 paragraphes précédents il y a bientôt 2 mois et c’est seulement aujourd’hui que je m’y replonge. Cela permet tout de suite à la perfection de se casser la gueule. Cette dernière, nous le constatons ici peut être une ennemie farouche à l’efficacité. À vouloir écrire le texte parfait, on fini par oublier la base ; l’expression d’une émotion, d’une idée, d’une pulsion. Et qui dit tout cela parle de spontanéité. Voilà ma plus grande contradiction. C’est une partie de l’héritage que ma mère m’a laissé. Je ne lui en veux pas, mais c’est dur d’aspirer à la perfection quand on est une artiste. C’est elle qui m’a toujours dit ça. En lui demandant cet été ce qu’elle pensait que je devais absolument faire dans ma vie et que je n’avais pas fait, elle m’a ramené ça sur le tapis. ‘’J’ai toujours cru que tu avais un talent pour l’art visuel’’. Et vlan! Je vous mets au défi de vous éclater à faire quelque chose que vous respecter au plus haut point, ne maîtrisez pas, que vous voudriez le plus réussi possible et en plus que les autres reconnaissent comme tel. Beau mal de tête en perspective! C’est un peu comme ça que je me sentais quant j’ai commencé ce texte qui se voulait un hommage à la personne qu’était ma mère…
Alors ou est-ce que je m’en vais avec ça. Je m’arrête ou je continue. Savez-vous quoi, je crois que je vais me donner le droit à l’imperfection, sinon je ne partirai jamais mon blogue car je ne finirai jamais ce texte.
Alors lançons-nous, ou plutôt mouillons-nous car vous risquez au passage de verser quelques larmes. La table est mise, il ne sera donc pas question de notre mini baby-boom québécois ou du spectacle de Céline Dion lors du 400e à Québec mais bien de quelque chose qui nous uni tous, et cela, malgré toutes nos différences. Et je vous parle ici de l’expérience inévitable dans une vie ; la Mort avec un grand « M ». Évidemment je ne disserterai pas sur la mienne, car une femme parfaite s’exprime toujours en connaissance de cause. Non, c’est que la mère, source de toute cette perfection s’en est allée voilà une semaine.
J’avais écrit les 2 paragraphes précédents il y a bientôt 2 mois et c’est seulement aujourd’hui que je m’y replonge. Cela permet tout de suite à la perfection de se casser la gueule. Cette dernière, nous le constatons ici peut être une ennemie farouche à l’efficacité. À vouloir écrire le texte parfait, on fini par oublier la base ; l’expression d’une émotion, d’une idée, d’une pulsion. Et qui dit tout cela parle de spontanéité. Voilà ma plus grande contradiction. C’est une partie de l’héritage que ma mère m’a laissé. Je ne lui en veux pas, mais c’est dur d’aspirer à la perfection quand on est une artiste. C’est elle qui m’a toujours dit ça. En lui demandant cet été ce qu’elle pensait que je devais absolument faire dans ma vie et que je n’avais pas fait, elle m’a ramené ça sur le tapis. ‘’J’ai toujours cru que tu avais un talent pour l’art visuel’’. Et vlan! Je vous mets au défi de vous éclater à faire quelque chose que vous respecter au plus haut point, ne maîtrisez pas, que vous voudriez le plus réussi possible et en plus que les autres reconnaissent comme tel. Beau mal de tête en perspective! C’est un peu comme ça que je me sentais quant j’ai commencé ce texte qui se voulait un hommage à la personne qu’était ma mère…
Alors ou est-ce que je m’en vais avec ça. Je m’arrête ou je continue. Savez-vous quoi, je crois que je vais me donner le droit à l’imperfection, sinon je ne partirai jamais mon blogue car je ne finirai jamais ce texte.
2 commentaires:
La perfection n'est pas de ne pas se tromper ou de ne pas se planter c'est de ne pas arrêter et de continuer après une chute, se relever. La perfection est un long chemin pas toujours tranquille et probablement sans fin. C'est ça qu'il y a de bien. Moi j'attends la suite, parfaitement, la suite de tes aventures.
Moi aussi je les attends. Il y a beaucoup de choses qui s'amorcent en ce moment et il faudrait que je puisse ajouter des heures ou que mes marmots me laissent 60 minutes de plus le matin avant de crier mon nom. En fait je risque d'être partagé entre maman parfaite, conjointe parfaite et femme d'affaire parfaire. C'était probablement prémonitoire ''femme parfaite''...
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